À propos
Michaël Bouyrie
Mon activité est exclusivement consacrée à la défense des sportifs, dans toutes les disciplines sportives, pour toutes les difficultés juridiques et judiciaires, devant toutes les instances sportives et judiciaires.
J’interviens également dans les litiges de la vie privée afin d’offrir un accompagnement complet de la vie du sportif.

Depuis toujours, le sport rythme ma vie
Mes premiers souvenirs me ramènent à l’âge de 4 ans, sur ma Yamaha PW 50, offerte par mon père, mécanicien et garagiste moto, lors de ma toute première course de motocross.
Bien plus qu’un simple souvenir d’enfance : ce fût la porte ouverte sur un monde d’émotions, où je découvrirai l’adrénaline, l’effort et la passion.
Plus tard, je sillonnerai entre la Courbe de Signes et le Double-droit du Beausset sur le circuit du Castellet, testant à cette occasion le bac à sable (efficace) et la barrière de pneus (solide)…
Je grandirai ainsi bercé par les exploits des motos qui rugissent 24h durant au Bol d’or, le souffle du Paris-Dakar (le vrai, celui qui traversait l’Afrique), les virages du Rallye des Châtaignes, ou les acrobaties du Supermotard de La Roche-de-Glun où Boris et Stéphane Chambon régnaient en maître.


L'amour du sport
Puis viendront naturellement d’autres amours sportives.
La frappe de Franck SAUZEE en 1989 allumera ma passion pour l’OM, je vivrai au Stade Vélodrome mes plus belles émotions, au rythme des papinades et des dribbles de Chris Waddle. Je pleurerai sur la main de Vata et exulterai sur la tête de Basile Boli.
Le tennis, où je me voyais tantôt Boris Becker, tantôt Stefan Edberg, imitant jusqu’à leurs gestes, à la volée ou au service.
Et tous ces dessins animés sportifs qui faisaient encore plus grandir la flamme de cet amour du sport : Sport Billy, Judoboy, Jeanne et Serge et surtout Olive et Tom, véritables épopées sportives qui résonnaient avec mes propres rêves.
Je ne comptais alors plus le nombre de lucarnes que je réalisais sur la porte du garage de mon pépé Etienne, et de lampes dézinguées dans ma cour, au grand dam de mon père.


Une implication multiple dans le monde du sport
Ma vie a ainsi toujours suivi cette dynamique sportive.
Joueur de football à l’US Beaumont-Monteux, US Pont-La-Roche, CO Châteauneuf Sur Isère de Cadet à Sénior.
Entraîneur de jeunes (poussins, pupilles à l’époque)
Journaliste de club, arbitre officiel…
Journaliste sportif au Dauphiné Libéré où je couvrirai les « exploits » de l’ASOA Valence, fraîchement promu en 2ème division de Football.
Plus tard, je toucherai à d’autres disciplines : licencié à la Fédération française de Tennis de Table, pratiquant de tir à l’arc…

Du Sport à Avocat en Droit du Sport
Lorsque je me suis tourné vers le droit, j’ai tout naturellement conservé ce lien avec le Sport.
Mon mémoire de Master 2 portait sur le « Sport et le droit de la concurrence », sujet précurseur qui a retrouvé une 2de jeunesse avec l’affaire de la « Superleague » et la décision de la CJUE. Et on n’a pas fini d’en parler.
A l’école des avocats, je m’intéressais à la « Responsabilité civile du sportif », développant la théorie de l’acceptation des risques. Quelle responsabilité pour le joueur qui tacle son adversaire, lui brise la jambe et sa carrière ?
Le sport n’a jamais été pour moi un simple passe-temps. Il est une part de mon histoire, de mon identité. Aujourd’hui encore, il inspire mes choix, nourrit mon engagement et reste une source inépuisable d’émotions et de souvenirs.
C’est ce qui explique mon dévouement professionnel exclusivement dédié à ceux qui créent ces émotions : les sportifs et les entraîneurs.