Avant de choisir un avocat, on se demande toujours à qui l’on va parler. À qui l’on va confier ce qui compte. Ce qu’on ne dit pas forcément à ses proches.
Est-ce que cette personne comprendra vraiment ce que je vis ? Est-ce qu’elle saura vraiment me défendre dans les moments compliqués ?
Il n’est pas simple de parler de soi. Je parle généralement des autres. Mais il faut bien que je me prête à l’exercice, pour que vous puissiez décider, en conscience, de faire appel – ou non – à mes services.
Ma relation avec le sport
J’ai découvert le sport à l’âge de 4 ans, lorsque mon père m’a mis entre les mains ma première moto : une PW 50 Yamaha, sans vitesses.
Je tournais dans le jardin, construisais des tremplins de fortune. J’ai même participé à une course (preuve à l’appui) que j’ai terminée, je crois, à la 4e place. Ma seconde moto, cette fois avec vitesses, m’a apporté beaucoup de joie… et une fracture du poignet.
Comme beaucoup d’enfants des années 80, j’ai été nourri aux dessins animés : Olive et Tom, Jeanne et Serge. Ils m’ont fait ressentir de telles émotions que j’ai pris ma première licence de football dans le club de mon village, l’Union Sportive Beaumont-Monteux.
Depuis, je n’ai plus cessé d’aimer le sport.
Le football, je l’ai pratiqué, entraîné, arbitré – en tant qu’arbitre officiel, même. Puis j’ai testé le tennis, le ping-pong, le tir à l’arc, et plus récemment le padel.
Le rugby ? Jamais. Trop risqué pour mes os.
Le sport m’a accompagné de l’enfance à l’âge adulte. Je me rappelle encore des samedis soirs avec Eugène Saccomano sur Europe 1, vantant les mérites de Chris Waddle. J’étais convaincu que je deviendrais journaliste sportif.
Finalement, je suis devenu avocat.
Mais je n’ai jamais quitté le sport.
Dès 1999, je rédigeais un mémoire sur le sport et le droit de la concurrence.
Nous étions à peine quelques années après l’arrêt Bosman. Le sport professionnel, désormais qualifié d’activité économique, venait de croiser le droit de l’Union européenne et le principe de libre circulation des travailleurs.
26 ans plus tard, ce mémoire est plus actuel que jamais.
Les décisions judiciaires européennes continuent de façonner le droit du sport.
C’est dans cet espace mouvant, technique et passionnant que j’ai choisi d’exercer. Et de m’épanouir.
Défendre ceux qui font le sport, sur et en dehors du terrain
Je suis avocat au barreau de Montpellier depuis 2003.
J’ai été de tous les combats, dans presque tous les domaines du droit privé et du droit public :
droit civil,
droit commercial,
droit des contrats,
droit de la famille,
droit immobilier,
droit de la concurrence,
droit des assurances,
droit des associations…
Mais aujourd’hui, j’ai fait le choix de me consacrer aux sportifs et à ceux qui font le sport.
Ceux qui SONT le sport.
J’accompagne les sportifs, les entraîneurs, les clubs, les agents sportifs, et tous ceux qui œuvrent dans leur intérêt.
Je travaille mes dossiers seul, je suis directement joignable, sans intermédiaire, sans filtre.
Un avocat du sport, mais aussi de la vie quotidienne
J’interviens devant les commissions de discipline, en cas de litige avec l’employeur (par exemple pour les entraîneurs dont le contrat est rompu ou qui réclament le paiement d’heures supplémentaires), pour défendre les sportifs victimes de cyberharcèlement, ou encore après des blessures, pour optimiser leur indemnisation.
En tant qu’avocat mandataire sportif, j’accompagne aussi les sportifs lors des transferts, dans la négociation de leur droit à l’image, ou dans leurs relations contractuelles.
Mais j’interviens aussi pour les sportifs confrontés à des litiges du quotidien.
Un divorce, un conflit patrimonial, une procédure immobilière…
Les sportifs, comme tout le monde, ont droit à un accompagnement juridique clair, fiable, adapté à leur réalité – et à leur rythme de vie.
Un mot, un rendez-vous, un combat
Je considère comme un privilège de pouvoir être l’avocat des sportifs.
C’est un prolongement naturel de mon parcours et de ma passion pour le sport.
Je vous écoute, je vous défends, et je vous accompagne dans les moments où l’on a besoin d’un avocat.
Le sport, je ne l’ai jamais quitté. Aujourd’hui, je le défends autrement.
